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Obama : le « réchauffement climatique » menace la sécurité nationale des USA

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LPAC—Dans un discours devant la Coast Guard Academy le 20 mai, Barack Obama a qualifié le changement climatique de menace à la sécurité nationale des États-Unis.

Cela fait de toute personne mettant en doute le rôle de l’activité humaine comme cause du réchauffement climatique un ennemi public et un traître à l’égard des États-Unis, alors que ce phénomène est avant tout causé par l’activité solaire et des phénomènes d’origine galactique.

Je suis venu ici aujourd’hui, a proclamé Obama, pour dire que le changement climatique représente une menace grave à la sécurité mondiale, un risque immédiat pour notre sécurité nationale. Et ne vous y méprenez pas, ceci aura un impact sur la manière dont nos militaires défendent notre pays. Nous devons donc passer à l’action, et nous devons le faire maintenant.

Bien que toutes les mesures scientifiques indiquent le contraire, Obama a prétendu que les preuves montrant « que la planète se réchauffe » sont indiscutables, et que les taux de dioxyde de carbone dans l’atmosphère « sont à leur niveau le plus haut depuis 800 000 ans ».

Assisterons-nous à une déclaration de guerre contre la Chine, accusée de menacer la sécurité des États-Unis avec ses émissions de CO2 ? Ou à la mise sur pied d’une nouvelle Commission à la McCarthy pour chasser les opposants politiques à la théorie anthropogénique ?

Cette campagne est lancée au moment où une grave sécheresse ravage la Californie, une catastrophe attribuée par le gouverneur Jerry Brown au changement climatique et utilisée pour faire voter des mesures d’austérité totalitaires.

La dernière en date contient de nouvelles règles contre le dessalement de l’eau, la méthode la plus appropriée pour palier les conditions de sécheresse. Selon un article publié dans le San Diego Union Tribune, les nouvelles restrictions pourraient ajouter des centaines de millions de dollars au coût des futures usines de dessalement, et doubler le prix de l’eau obtenue par cette méthode, par rapport aux eaux grises recyclées. Ceci afin de bloquer l’entrée en service d’une usine de dessalement d’une capacité de 50 millions de gallon/jour, prévue initialement pour 2017 à Carlsbad, en Californie.

Le mouvement de LaRouche et plusieurs autres scientifiques ont dénoncé la fraude de la théorie anthropogénique, tout comme la politique de réduction démographique délibérée qui la sous-tend, et appelé à la mise en chantier de grands projets d’infrastructure pour transférer de l’eau depuis l’Alaska, ainsi qu’à un effort de recherche scientifique sur le développement des cycles de l’eau en tant que processus d’origine galactique, et sur les systèmes d’ionisation pour reproduire ce processus sur Terre et induire des précipitations.